PAGE FACEBOOK. Jean Trémorin (Très petit résumé)
Voilà le texte: 6 PAGES, 6 LIENS: que vous trouvez sur la page Facebook. je ne reprends pas les liens que vous pourrez trouver par ailleurs.
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Retraité de l’agriculture élevage porcin en génétique (Vente de reproducteurs) né en 1944. J’ai connu beaucoup de joies dans ma vie mais aussi quelques années très pénibles dont ces 5 dernières années. Depuis février 2020, Je reprends goût à la vie mais j’aimerai surtout partager des valeurs avec les jeunes, les parents, les aînés. Vous le percevrez en parcourant ces pages très différentes ! Merci.
Liste des Articles:
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LE BAC CONTRÔLE CONTINU EN 2020 et SI ON CONTINUAIT ?
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Dessin Chaunu : Contrôle continu
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LE BAC CONTRÔLE CONTINU EN 2020 et SI ON CONTINUAIT ?
2020 A cause de cette épidémie, le coronavirus, le bac va sans doute être jugé sur le travail de l’année ou contrôle continu.
Je me souviens, il y a plus de 30 ans déjà, on apercevait souvent des élèves attristés ou en pleurs à l’annonce des résultats. Parfois, ces mauvaises notes étaient du à un manque de travail annuel mais aussi à un manque de chance car, pour certains qui avaient travaillé toute l’année, le jour du concours, c’était un des rares sujets qu’ils ne connaissaient pas, ou bien, ils avaient répondu, à cause du stress parfois, à côté du sujet !
Je ne suis pas un spécialiste, juste un retraité de l’Agriculture, mais depuis ces années là, tous les ans, c’est un peu la même histoire et quand le ministre de l’éducation nationale a commencé, à son arrivée, à envisager une réforme qui visait à prendre le travail de l’année en compte, je m’en suis félicité. Je craignais même qu’il n’aille pas assez loin ! ce n’est tellement pas facile de bouger à ce niveau non plus ( combien de ministres ont étés remerciés suite à des projets de réforme ?) Et bien, cette année, on va adapter un peu cette formule. Je ne me réjouis pas de la raison pour laquelle on le fait mais m’amène à dire ce que je pense depuis très longtemps et en toute simplicité.
1 le résultat représenterait davantage le travail de l’année scolaire
2 A une période ou l’on parle de faire des économies, en voilà bien une. La préparation de cet examen, le risque de fuite, les fraudes, des professeurs occupés pendant de nombreuses journées, des élèves qui n’ont plus d’enseignants , etc. Je prends le temps , à ce moment de mon récit, d’aller sur un moteur de recherche et le premier site qui se présente est celui ci-dessous. Il me rejoint complètement dans mon analyse. Je regrette presque d’avoir écrit tout cela. Je ne change pas ce que j’avais noté car je voulais être très prudent mais c’est bien 3 semaines paralysantes comme je croyais me souvenir. et non quelques jours comme je l’ai décris par grande prudence !
https://www.lemonde.fr/societe/article/2013/06/10/le-cout-cache-du-bac-1-5-milliard-d-euros_3427037_3224.html 3 : il y en a beaucoup qui seraient contre, prétextant par exemple de ne pas pouvoir se rendre compte du niveau réel de l’élève car les notations pourraient être différentes d’un établissement à un autre mais il y a des solutions simples pour remédier à cela
Et, surtout, ma conclusion : ce serait 3 semaines de plus de travail dans les établissements scolaires pour de très nombreux élèves de différents niveaux. Ceux là même, futurs bacheliers travailleraient sereinement, sans stress, en acquérant plus de savoir encore et, enfin, une belle économie pour le pays tous les ans. Avec cette pandémie qui nous bouscule et plus que cela puisque certains la paient de leur vie, n’est-ce pas là, un axe de réflexions à ne pas négliger et même source de décisions à prendre : une parmi tant d’autres ou il faudrait simplifier, simplifier, simplifier, simplifier (on demandait déjà des simplifications sous Valérie Giscard D’Estaing). L’avenir de nos petits enfants est déjà en jeu depuis longtemps mais il serait temps de laisser se réaliser de bonnes réformes. Merci. Jean.
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06/04/2020 EXAGÉRATIONS DANS LA CRITIQUE DU MONDE AGRICOLE
J’ai vu passer cet article l’autre jour et je voulais y répondre car un point m’a surtout révolté et ce jour, un responsable FNSEA répond et il a raison : voir l’article ;
Ce qui m’avait choqué : ici dans l’article : C’est INCROYABLE DE VOIR LE NOMBRE DE FOSSES A LISIER QUI LÂCHENT D’UN COUP, D’épandages mal faits, de litres de fioul relâchés, et de mortalité importantes dans les cours d’eau et , plus loin : la nécessité de limiter drastiquement les épandages agricoles, afin de tout mettre en œuvre pour limiter la propagation du virus. Qui peut croire de telles sottises ou alors, il est grand temps, dès l’école, d’apprendre aux élèves, de distinguer le vrai du faux ! Certes, Malheureusement, il peut arriver qu’une fosse lâche, mais c’est très rare mais comme on ne peut empêcher tout accident industriel, hélas ! Alors NOMBRE DE FOSSES A LISIER QUI LÂCHENT D’UN COUP, Je trouve ce texte CHOQUANT et IRRÉALISTE. Je ne reviens pas sur tous les points, contestables tels qu’ils sont décrits ici. Il cite aussi : D’épandages mal faits (quand on connaît la réglementation, on ne s’étonnera pas qu’il y ait de moins en moins d’agriculteurs à vouloir pratiquer ce dur métier. J’ai exercé moi-même cette profession d’éleveur porcin. En 2017 environ, j’avais lancé un plan d’épandage pour construction de porcheries qui avait duré 3 ans au niveau administratif. Avoir le nombre d’Ha suffisant pour épandages en essayant de trouver des collègues compréhensifs pour recevoir les épandages de lisier.) Il cite encore ce monsieur : de litres de fioul relâchés et de mortalité importantes dans les cours d’eau ? etc. je ne vois pas non plus ce que cela vient faire là ? en supposant que ce soit vrai un accident reste un accident et moins il s’en produit et mieux c’est pour tout le monde. Quand il y a tant de critiques dont certaines ridicules, on est en droit de se poser des questions sur les autres comme si empêcher les épandages agricoles allaient limiter la propagation du virus, encore faudrait-il s’appuyer sur des réalités démontrées, ce qui ne semble pas être le cas actuellement. ENFIN, Je vois trop souvent d’exagération dans les reportages télévisées ou autres qui font dire ce que l’on veut, avec des images fortes, voir tronquées ( je ne parle pas des souffrances animales ou des abattoirs, là, il faudrait que j’y passe la nuit, encore que, si ce message est regardé, je crois que j’ai tapé un texte là-dessus, il faudrait alors que je vous le livre. Pour Conclure, il ne s’agit pas que les agriculteurs puissent faire n’importe quoi (il est possible que quelques-uns aient encore des progrès à réaliser mais la plupart sont sérieux et essaient d’avancer avec moins de polluants et d’autres façons de cultiver, en bio ou en agriculture raisonnée. On s’aperçoit surtout qu’avec ce problème du coronavirus justement, ils contribuent à ce que la population soit alimentée normalement et sans de risques sanitaires et écologiques en important de trop loin des denrées alimentaires ou plats tout préparés. Jean Trémorin
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DANSE WCS JEAN, une danse un peu différente des autres.
DES LIENS VERS DES VIDÉOS DE DÉMONSTRATION
Un truc, parmi d’autres, que je n’aurai pas vraiment réussi à faire partager à mes enfants ou petits enfants et bien d'autres évidemment: le plaisir de la danse à deux. Un jour, peut-être ? Dans les danses en général, Une condition essentielle : C’est l’homme qui doit conduire et la femme se laisser conduire. N’y voyez rien de « macho », je ne parle que de la danse, pour le reste je suis pour un partage équitable et même plus que cela au profit des femmes. Si la danseuse conduit, ça devient compliqué pour le danseur et il ressort qu’on le veuille ou non, quelque chose d’inachevé dans cet échange. Très exceptionnellement, il m’est arrivé d’être agréablement surpris si, de temps à autre, une partenaire nous surprend mais c’est exceptionnel ! Dans cette danse présentée ici, le WCS (West Coast Swing), le rôle du danseur est de mettre en valeur la danseuse qui peut justement par des mouvements de créativité, une rotation inattendue, etc. surprendre et son partenaire et ceux qui aiment regarder. Cette danse laisse aussi la place à l'humour et au rire. On danse souvent sur une base de huit temps et le but est d'essayer de coller à la musique. Au tout début, ce n'est pas évident, mais très vite, quel plaisir !
C'est quoi exactement le WCS : Le plus simple, Visionnez et vous comprendrez !
https://www.intensive-wcs-orleans.com/qu-est-ce-que-le-wcs
Puis d'autres sites pour le plaisir:
https://www.youtube.com/watch?v=XWjpHVcj73c
La Danse. Une activité passionnante. J’ai peint un tableau qui représente les acteurs principaux de Dirty Dancing . Qu’attendent la plupart des jeunes pour danser en couple, c'est tellement plus agréable. Il semblerait cependant que depuis quelques années il y a beaucoup d’écoles pour apprendre les danses de salon et, en particulier le WCS. Celles que je connais le plus se situent à St-Malo, Rennes, Nantes mais je sais que l'on danse ainsi à Lyon, Paris et même en semaine (Salsa Cubaine ou Portoricaine (Il est très important de signaler qu’il n’y a pas d’alcool dans ces écoles, que la danse commence vers 21 h voir 22h au plus tard et se termine vers 1 heure ou 1h30 du matin. Il n'y a pas de bagarres, il n'y a pas d'accidents au retour, et comme il n'y a que des boissons type eau, eau pétillante, coca, jus de fruits, etc. Les boissons sont gratuites ou sont comprises dans le prix de l'entrée (En 2018 : 10 €, je ne sais plus!) Le lendemain n’est donc pas ''pourri'' comme la plupart de ceux qui vont en boite et qui n’arrivent plus à se lever. Ces souvenirs donc partent des années 60 ou j’allais danser dans les bals du samedi soir ou du dimanche après-midi. En suite, malheureusement, ces bals ont disparu. Ce n’est que beaucoup plus tard, les années 2001 peut–être que je suis retourné vers la danse avec ces écoles justement : paso, salsa, valse, valse Anglaise, cha cha cha, tango, rumba, rock, meringué, madison élaboré, bougi, etc. Il y a aussi le WCS présenté ici en vidéo ou sur mes pages . Je terminerai par les thés dansants ou j’ai rencontré aussi de bonnes danseuses. Notre première inscription (Ma femme et moi) se fit dans une école à Combourg puis, plus tard, à St-Malo. On terminait les cours au mois de juin et là, chaque groupe de cours de danse donnait une représentation. C’était aussi quelques minutes de stress surtout si on évoluait sur la même chorée en même temps au milieu de 10 à 20 couples. S’il y avait un oubli c'était l’horreur ou il fallait vite se rattraper. C’était aussi une bonne école pour se surpasser, faire plaisir au prof et la conclusion pour une année ou on avait encore progressé en prenant du plaisir ! Mais la soirée se terminait sous les applaudissements et tous se promettaient de revenir l'année suivante. Je suis en train de remarquer que je conjugue à l'imparfait mais après ce coronavirus et mon opération de hanche, qui sait !
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20200828. De Nathalie Bianco: Femmes seins nus et liberté !
Autres photos sous l'article. Et LES NOTES DE JEAN
Mais il y en a un autre, tout aussi préoccupant qui circule depuis quelques années dans notre pays et se répand sous nos yeux : C’est le puritanisme.
Vous savez, c’est ce virus qui fait que l’on refuse l’entrée d'un supermarché à des femmes trop décolletées, la montée dans le bus à une jeune fille en mini-jupe où que l’on demande à des baigneuses topless sur une plage de couvrir leur poitrine.
C’est un virus sournois, insidieux mais les séquences de son génome ont été identifiées depuis longtemps : De l’intégrisme religieux, de l’archaïsme, des obsessions sexuelles mal dissimulées derrière des discours de bigots moralisateurs…
Bien entendu les premières victimes seront les femmes. Toujours.
Le virus est difficile à circonscrire car il « infuse » et pénètre par incubation au cœur même de notre société grâce à plusieurs biais : Il y a bien sur les discours obscurantistes des religieux qui nous comparent à une pièce de 2 euros, il y a les punchlines des rappeurs qui font de nous « des joyaux précieux à ne pas montrer à tout le monde », il y a les positions des progressistes de gauche, biberonnés à l’idéologie intersectionnelle, qui tweetent que « le voile signifie que le corps de la femme n’est pas à la disposition des hommes ». Il y a aussi les marques de vêtements qui, cyniquement, promeuvent le burkini parce qu’il y a « un business à prendre », les élus politiques, plus prompts à s’indigner des hôtesses du tour de France que du voilement des petites filles.
Bref, tout est fait pour favoriser progressivement l’émergence d’une nouvelle norme visant à couvrir au maximum le corps des femmes et à les préserver des regards.
Le problème vient aussi du fait que l'on pense avoir des défenses immunitaires fortes, une solide constitution et que l'on se croit protégé.
Après tout, on est en France et c’est en famille, que l’on va au Louvre, admirer « La liberté guidant le peuple" de Delacroix, ou bien « la Vénus de Milo ».
Après tout, qui n’a pas, à un moment ou à un autre contemplé rêveusement une photo de notre Brigitte Bardot nationale, nue sur une plage ? Qui n’a pas un jour glosé sur la longueur des jupes d’une autre Brigitte qui, à chaque représentation officielle, indifférente aux remarques sur son âge semble résolue à ne jamais renoncer au plaisir de montrer ses jambes ?
Après tout, de Jeannie Longo à Laure Manaudou, de Marie Josée Pérec aux filles de l’Olympique Lyonnais, qui n’a pas, à un moment ou à un autre, vibré pour ces formidables guerrières qui se soucient de leur « pudeur » comme de leur premier tampon hygiénique ?
En France, la liberté des femmes est universelle. Elle concerne aussi bien les jeunes filles en mini-short en ville, que les vieilles dames toutes fripées qui
exposent leurs corps brunis sur la côte d’azur. Elle concerne aussi les plantureuses, les imposantes, les pas-bien-foutues qui malgré tout, adorent leurs leggins-moulants-et-si-t’es-pas-content-tu-regardes-ailleurs-moi-je-suis-bien-comme-ça.
Notre liberté ne s’embarrasse pas de considération esthétique.
Alors, on se croit protégé et immunisé et pourtant…Chaque jour, un nouvel ordre moral progresse et ce qui était inimaginable jusqu’à peu devient de plus en plus « la norme ».
Dans ce contexte, il ne faut donc pas s’étonner que celles qui refusent farouchement ces diktat de « pudeur » soient progressivement ostracisées.
Le jour où les minorités pudibondes et bigotes deviendront la majorité, je ne donne pas cher de notre liberté.
Il sera alors trop tard pour chouiner et revendiquer le droit de marcher en short, en jupe, cheveux au vent et d’aller où bon nous semble. Le virus aura gagné.
Il n’y a pas de vaccins, pas de gestes barrières.
Le seul antidote qui puisse nous sauver, c’est le courage.""
LES NOTES DE JEAN.
Félicitations pour cet article. C'est un sujet qui me tient à cœur et que j'ai déjà abordé d'autant plus que j'avais 16 ans dans les années 1960 et que les filles en mini-jupe (Les seins nus un peu plus tard!) me faisaient plutôt rêver tout en approuvant cette chance que nous avions de rentrer dans une nouvelle ère !
Çà nous changeait des tenues de nos grands pères en blouse noires que je n'ai pas trop connu quand même mais les photos de famille étaient là dans les albums de mes parents (Je n'ai pas connu mes grands pères partis trop tôt !).
Cette nouvelle mode yé yé extraordinaire qui a donné court aussi à une révolution vestimentaire heureuse comme l'apparition du monokini, la mini-jupe citée plus haut, le trench, la robe trapèze, la saharienne que j'adore toujours à 76 ans. J'ai souvent acheté ce style de robe et d'autres pour ma compagne. Je me souviens quand même, vers les années 1975 et au-delà, quand je faisais du shopping dans les boutiques de lingerie féminine surtout sans Annick (Ma compagne) et souvent pour lui faire une surprise, prenant même quelques risques par rapport à a taille, il y avait souvent un sentiment de surprise ou de curiosité en voyant un homme seul observer les dessous, se renseigner, etc.
Par contre, bien qu'étant loin des grandes villes, j'ai déploré depuis très longtemps cette attitude des grands frères de cités, entre autre, veiller abusivement sur leurs sœurs et autre filles parfois ! Certes, même si je suis loin de bien connaître ce milieu, il peut y avoir des conduites qui diffèrent derrière les murs, ces garçons se privent de cet enchantement que j'éprouvais en observant les filles dans cette période dorée. Pourtant, on était loin d'imaginer que chacun aurait eu , en marchant dans la rue, ces petits objets collés à l'oreille sans se soucier de l'entourage. De plus, ils parlent seuls (Bon, je sais, j'en fais aussi partie mais pas constamment).
je n'aurai jamais imaginé un tel retour en arrière 50 à 60 ans plus tard. Il faut donc réagir vivement et avec courage comme semble conclure Madame Nathalie Bianco qui a édité l'article ci-dessus . Jean
même si, à cette époque, ils s'habillaient sans doute avec ce qui leur
paraissait le mieux !
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