HISTOIRES DRÔLES AUTRES QUE JEAN.
EN ESPÉRANT VOUS DISTRAIRE
Liste des Articles:
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ALLO ! PAPY, MAMY ! Répondeur.....SUPER
21/09/2013: Gaspard Proust déclenche un fou rire en imitant François Hollande
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PAPA, DEMAIN J'AI UN DEVOIR SUR LA POLITIQUE ! Oui, rire, c'est bon !
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13/11/2020. NOUVELLE RELIGION : LE COVIDISME ! Rire un peu !
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ALLO ! PAPY, MAMY ! Répondeur...SUPER
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Je l'avais posté en 2013 sur facebook. Elle vient de réapparaître. Je ne peux m'empêcher de la partager en ces temps difficiles.
Ce samedi soir, dans "Salut les terriens" sur Canal+, François Hollande en a pris pour son grade...
Gaspard Proust n'a pas hésité à l'imiter, ainsi que son "charabia" sur les impôts.
Cette chronique remplie d'humour a d'ailleurs provoqué chez Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice PS de Paris, un énorme fou rire!
https://www.facebook.com/stephane.unicom/videos/733335906692796
7 ans plus tard, Il est temps d'améliorer ce qui n'a pas encore été ! Et puis ça fait du bien de rire un peu !
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13/11/2020
NOUVELLE RELIGION : LE COVIDISME ! Rire un peu !
Le covidisme expliqué par Étienne Samarithin: CLICICI 💕👍 🎻
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Un professeur déjeune à la cantine quand un étudiant vient s'asseoir en face de lui.
Le prof lui dit avec un sourire narquois, pour le taquiner :
- "Les oiseaux et les cochons ne déjeunent pas ensemble !"
- "Oh ! Excusez moi, dans ce cas je m'envole» lui répond l'étudiant."
Honteux de s'être fait avoir si bêtement, le professeur décide de le coller lors du contrôle de la semaine suivante, mais l'étudiant répond parfaitement à toutes les questions.
Alors le prof lui pose un petit problème :
- "Tu es dans la rue et tu trouves deux sacs, l'un contient des billets de banque et l'autre de l'intelligence, lequel choisis-tu ?"
- " Le sac rempli de billets" répond l'étudiant.
- Moi, à ta place, j'aurais choisi l'intelligence !
- Les gens prennent toujours ce qu'ils n'ont pas" lui répond l'étudiant !
Le professeur ravale sa rage, mais il prend la copie de l'étudiant et inscrit dans la marge : "CRÉTIN".
L'étudiant reprend sa copie, va s'asseoir et au bout de quelques minutes revient :
- "Monsieur" lui dit-il "vous avez signé mais vous avez oublié de me mettre une note !"
……...
Pardon Messieurs les Professeurs, c’est une blague !
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Intro.
L'est trop belle celle-là !!!
Jean Trémorin Répond en copiant ce texte sur sa page.
Encouragement à raconter l’histoire du Dentier à La Hurlais.
Même des Confidences intimes.
Des anecdotes qui restent forcément en mémoire.
La voilà cette histoire de dentier qu’il me faut décrire pour toi et pour vous !
Intro.
Chambres d’Hôtes La Hirlais ANECDOTES
Le dentier Voilà comment est venu l’idée d’écrire cette histoire de chambre d’Hôtes
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Jean Trémorin
10 h • Il me semble que l’histoire –là avait été envoyé par Mari-Thé Trémorin (Tony)
Public
L'est trop belle celle-là !!!
> > > > > Un Papy et une Mamie de 80 ans vont chez Mac Do par une soirée d'hiver.
> > > > > Le Papy et la Mamie passent à la caisse, paient le repas et vont s'installer à une table.
> > > > >
> > > > > Sur le plateau de Papy se trouvent un hamburger, un paquet de frites et un coca.
> > > > >
> > > > > Papy déballe le hamburger et le coupe en 2, il fait la même chose pour les frites.
> > > > > Il place une moitié devant sa femme et l'autre moitié devant lui; il prend une gorgée de Coca et donne ensuite son verre à Mamie qui en fait autant.
> > > > > L'homme entame sa part de hamburger, frites.
> > > > > Un jeune qui observe la scène depuis leur arrivée pense qu'ils n'ont pas les moyens de s'offrir un vrai repas chacun, il s'approche de leur table et, un peu gêné, leur propose de leur offrir un autre repas.
> > > > >
> > > > > Papy le remercie et lui répond que tout va bien et qu'ils sont habitués à tout partager
> > > > >
> > > > > Puis les gens autour d'eux s'aperçoivent que Mamie n'a encore rien touché et que de son côté, le mari est presque à la fin de son repas.
> > > > >
> > > > > Le jeune homme les prie une dernière fois d'accepter.
> > > > >
> > > > > Cette fois, c'est Mamie qui répond que ce n'est pas nécessaire, qu'ils sont habitués à tout partager.
> > > > >
A ce moment là, Papy a terminé son repas et s'essuie la bouche.
> > > > >
> > > > > Le jeune homme dit à Mamie: "Madame, pourquoi ne mangez-vous pas ? Vous dites que vous partagez tout... je ne comprends pas !!"
>
> > > Et la dame répond: "J'attends ses dents !!!
Jean Trémorin Répond en copiant ce texte sur sa page
J'ai failli ne pas la mettre sur ma page car ça me rappelle une autre histoire de dentier quand je tenais des chambres d'hôtes et ce n’était pas triste mais une situation embarrassante pour moi dont je m'étais assez bien sorti .....
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Répondre
• • 10 h
Encouragement à raconter l’histoire du Dentier à La Hirlais
Is…... L…….
Jean Trémorin
Jean, vous en avez trop dit, la prochaine fois que l’on se revoit, J’aimerais que vous me racontiez cette histoire. Bon confinement.
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Répondre
• • 8 h
• Jean Trémorin
D'accord ! je craignais que ça débouche sur ce type de demande mais tu peux me tutoyer ! Je m'occupe de cela et le posterai ici pour tous. Bonne semaine
Même des Confidences intimes
Donc, il était une fois, un couple dont le mari avait eu une vie professionnelle qui l’avait passionné parfois mais qui était aussi beaucoup plus difficile et laborieuse que certains pourraient l’imaginer ? C’est une autre histoire décrite par ailleurs et qui a surpris le premier à l’avoir lu, beaucoup plus qu’il n’aurait pu s’imaginer: Mon ami et Cousin par alliance : R.O.
Elle lui avait valu une profonde dépression pour terminer alors qu’il n’avait jamais pensé auparavant, y être sujet !
La femme, Annick, femme au foyer comme on disait, avait eu cette chance de pouvoir s’occuper de ses trois beaux enfants : deux filles et un garçon dont elle pouvait être fière. Mais contrairement à ce que certains pensent, c’est aussi une vie remplie de labeurs, tenir une grande maison, se former en comptabilité et autres ; Bref, une vie bien remplie mais riche de pouvoir participer au développement général des enfants. Cette vie fut un peu plus compliquée aussi pour elle vers la fin : Aider un peu son mari dans des tâches ingrates pour une femme (physiquement), puis deux autres occupations successives rémunérées pour pouvoir prétendre à une retraite pourtant peu élevée comme pour son mari agriculteur.
Vous l’avez compris, il s’agit de nous et en 2000, après un arrêt professionnel imprévu, nous avions décidé de transformer notre belle maison de caractère du 18 ème en chambre d’hôtes. Il s’agissait surtout du 2ème étage car, au premier c’était déjà bien agencé. Une bonne année de travaux et nous allions enfin pouvoir ouvrir. Beaucoup de touristes nous enviaient notre maison, le fait de d’accueillir des personnes extérieures, de pouvoir échanger, de pouvoir mieux entretenir l’habitation, etc. D’autres n’en revenaient pas que l’on puisse partager ainsi sa propre maison ! Pour être franc, nous l’avons fait pour maintenir un revenu et rien d’autre et puisque ça nous avait paru être la solution, nous avons donné le meilleur de nous-mêmes pour rendre la vie de nos hôtes la plus agréable possible durant leur séjour et je reconnais que cette activité nous a fait rencontrer des personnes très sympathiques. C’était enrichissant mais prenant car il fallait être présent, prendre des vacances l’été était quasiment impossible. Alors, nous partions plutôt en fin de saison ou l’hiver en voyage organisé avec les gîtes de France par exemple qui nous à fait visiter des pays incroyables : L’Amérique centrale (Le Guatemala, Belize et le Honduras). Puisque j’en suis aux voyage, nous avions aussi visité l’Inde, et, durant notre activité, mais il y a très longtemps : La Bulgarie (avant la chute du rideau de fer), Le Sénégal, Le Maroc, La Thaïlande. Depuis 2000, une escapade de trois jours à Venise, La route des vins en France, L’Espagne avec pour but principal le sud : L’Andalousie dont les villages blancs, Séville, Ronda, Grenade et son Alhambra (Images souvenirs de ce périple : https://www.vacancesespagne.fr/.../guide-de-landalousie... ). Pour La France qui est un merveilleux pays, J’aurai l’occasion ça et là d’y venir…
En même temps, j’ai découvert la peinture, pris des cours, aménagé une galerie et non des moindres, ce qui me permettait d’attendre les touristes sans trouver le temps désespérément long. J’ai aussi décidé d’apprendre la guitare ce qui m’a amené à prendre des cours et même, par accidents, à présider l’école de musique de Dol De Bretagne (Je remercie encore le conseil d’administration. On aurait voulu proposer plus facilement l’accès à beaucoup de jeunes même de famille modeste mais on n’y est pas vraiment arrivé et on a fini par démissionner, dommage !). Des fourmillements dans les doigts m’ont fait arrêter la guitare trop tôt. J’aurai bien voulu m’y mettre vers 17 ans pour épater les filles peut-être et n’ayant pas d’argent pour des cours et n’étant pas assez doué pour démarrer seul, j’avais abandonné! J’envie Thomas Dutronc dont j’ai aussi connu le père dans un autre registre….
Des anecdotes qui restent forcément en mémoire.
J’en reviens à cette activité de chambres d’hôtes qui s’est plutôt bien déroulée ; Cependant, elle nous a quand même valu quelques surprises comme cet homme d’un certain âge, atteint de problèmes cardiaques et dont la femme avait « tapé » à la porte de notre chambre, vers 3h du matin. Elle craignait le pire. J’ai cru comprendre qu’il avait déjà eu des problèmes cardiaques, J’ai donc appelé les secours puis essayé de calmer ce monsieur sympathique au demeurant, afin qu’il ne décède pas avant l’arrivée des pompiers. Il n’arrêtait pas de se lever, de venir déambuler dans le couloir. J’avais du être plus ferme pour le maintenir au lit. Il s’était quand même calmé un peu. J’avais sans doute raison car les pompiers, dès leur arrivée lui ont intimé la même chose. Puis, ils l’ont descendu su un brancard ! Quelques semaines plus tard, nous avons reçu un message plein de gentillesse nous remerciant de nous être occupés autant de cet hôte. Je n’estimais pas avoir fait plus que ce qui me paraissait évident, malgré tout, cette attention nous avait été droit au cœur !
Que dire aussi de cet homme d’une quarantaine d’années resté enfermé dans la salle de bain ? C’est sa compagne, inquiète, qui était descendue nous prévenir vers 9h30 je crois. Tous les petits déjeuners avaient été servis et je me trouvais disponible pour aller voir ce qui se passait …… Au deuxième étage, dans la chambre La Cancalaise ou était accroché au mur, l’un de mes tableaux peints sur St-Malo avec des vagues, ma cliente m’indique la porte. Je regarde et je ne vois rien d’anormal sinon l’impossibilité de tourner même la poignée. Je lui fais part de mon inquiétude n’ayant pas l’intention de tout casser ! C’est moi qui avais placé et peint avec deux couleurs variées. Je n’avais pas envie de la défoncer pour tout refaire surtout que j’étais assez fier du résultat? Heureusement, mon hôte n’était pas claustrophobe et, sans s’affoler, m’indiqua qu’il allait grimper sur le toit pour regagner la chambre en passant par le velux… J’ai toujours faire partie de ceux qui préféraient la prévention plutôt que la guérison. Imaginant déjà cette homme plutôt sympathique se hisser à la force des bras pour passer au travers du vasistas puis s’allonger sur le toit, et ramper vers celui de la chambre situé à 3 mètres, je craignais, pour les ardoises certes……mais surtout pour lui car nous étions quand même à 10 mètres du sol et je n’aurai pas aimé l’entre crier : HA HA HA HA HAAAAAAAAA !............ Alors, sans prétention, je pourrai trouver des témoins ! j’ai le sens des « trucs à trouver» pour se sortir d’une situation compliquée, de débloquer un écrou rouillé sans forcer, etc. etc. Une nouvelle épreuve m’attendait et je n’avais pas l’intention de me mettre en danger (Sécurité oblige) comme de poser une grande échelle sur la gouttière et de monter pour aider mon client à s’en sortir (on risquait deux chutes au lieu d’une !). J’essayais donc de réfléchir vite car Madame commençait à se demander quand elle allait revoir son époux et père de famille car il y avait aussi trois enfants encore calmes, j’entrepris donc de ne pas me servir de hache, de demander à tous un peu de patience tous au plus quelques minutes, afin d’aller à l’atelier chercher une perceuse et ses forets. Je tentais alors ce qui me paraissait le moins à risque pour …. La porte en essayant, au travers du trou de la serrure, de percer dans cette dernière. La mèche s’enfonçait et la serrure résistait encore ! Après plusieurs essais et que de la limaille de fer commençait à envahir la chambre, le verrou lâchât d’un coup et la porte s’ouvrit comme par enchantement libérant ainsi notre homme téméraire……Une histoire qui finit bien. Il n’y eut plus qu’à installer une nouvelle serrure mais la jolie porte était sauvée !
Je pourrai citer l’homme et son chien (voiture), la dame bavarde et sa mère, etc. mais je rappelle l’échange avec des amis suite à cette histoire de dentier ; Copier-coller du haut de page :
J'ai failli ne pas la mettre car ça me rappelle une autre histoire de dentier quand je tenais des chambres d'hôtes et ce n’était pas triste mais une situation embarrassante pour moi dont je m'étais assez bien sorti .....
Is….L….. ( de la région de Cholet) à Jean Trémorin.
Jean, vous en avez trop dit, la prochaine fois que l’on se revoit, J’aimerais que vous me racontiez cette histoire Bon confinement
La voilà cette histoire de dentier qu’il me faut décrire pour toi et pour vous !
Et ça a continué un peu ainsi et même un rappel, il faut donc que je m’y attelle !
Quelle année c’était, je ne sais plus, disons vers 2006, 2010 ? En tous cas, nous étions bien rôdés à notre nouvelle activité.
Un samedi après-midi, toutes nos chambres étaient réservées et vers 14h arriva notre premier couple de clients : lui, journaliste Italien, bel homme la cinquantaine ; Elle, Belle femme, très distinguée, joliment maquillée, accompagnait son mari, Homme élégant également, reporter journaliste et photographe, qui devait rédiger un article sur le déroulement d’un concours de chiens de races, devant se dérouler au Tronchet (Commune voisine). Ils s’installèrent, lui parlait juste quelques mots de Français, puis s’en allèrent vers Le Tronchet.
Trente minutes plus tard, arrivèrent à leur tour, deux frères, leur père, et leurs chiens de race resté dans une sorte de cage, à l’arrière de leur camionnette. Vous l’avez deviné, ces gens, de condition modeste, me semblait-il, participaient à ce fameux concours canin !
Nous les avions installés au deuxième étage, dans la chambre familiale: La Malouine ou était accroché au mur, un tableau dont j’étais fier, représentant la tempête le long des remparts de St-Malo. Au milieu de cet étage, donnant sur l’escalier, un petit hall bien décoré par Annick ou une télé permettait parfois de distraire les enfants…A gauche de ce hall, c’était la chambre La Malouine ( un tableau, au mur, représentait un jeune couple dont le garçon jouait de la guitare et elle, allongée en tenue d’été, semblait l’écouter amoureusement ! Et c’est dans cette chambre que le couple d’Italiens devait séjourner trois ou quatre jours.
En fin d’après-midi, nos trois éleveurs et leurs trois chiens je crois, la taille de bergers Allemands mais ce devait être une autre race, vinrent se reposer un peu à La Hirlais. Pendant que nous prenions un apéritif offert à nos Hôtes, le vieux Monsieur avec sa casquette (Pourquoi je dis vieux : Seulement dix à quinze ans de plus que moi !) s’excusa et demanda à monter vers les étages pour y faire un brin de toilette sans doute ?
Ils repartirent tous bientôt pour se restaurer sur Dol De Bretagne.
Nous visionnions un film, Annick et moi, quand, vers 22h30 environ, un léger coup à la porte me fit me lever et le journaliste Italien entra déjà et me demanda si je pouvais le suivre jusqu’à la chambre ? C’est, en tous cas, ce que j’avais cru comprendre car, je vous l’ai dit, lui ne parlait pas vraiment le Français et moi, je suis nul en langues. Grand, imposant, sa distinction naturelle ne cachait pas une certaine nervosité qui me donnait l’impression qu’un événement ou une anomalie, que sais-je, devait avoir eu lieu là-haut ! Dans ma vie, j’avais déjà eu à affronter beaucoup de situations difficiles et, stoïque, je me décidais à le suivre sans plus d’explications, le plus simple semblait de monter l’escalier en bois exotique qui décorait à lui-même l’entrée de la maison de par son style.
Mon client me précédait en montant allègrement les deux étages et, arrivé à la porte de leur chambre, s’effaça devant moi et me fit signe de pénétrer. Toujours imperturbable, j’ai connu pire! Je décidais donc d’y voir plus clair et de découvrir ce que cachait cette façon de venir m’interpeller dans mon séjour. En ouvrant la porte, je fus un peu surpris ; L’Italienne, je m’en souviendrais toute ma vie, se tenait debout au milieu de la chambre, sans un mot, elle attendait là, immobile, le teint presque blême! Je ne comprenais pas, était-ce une souris qu’elle avait aperçu qui la paralysait ainsi? J’imagine Annick, ma partenaire dans la vie, devant une telle situation, elle ne serait pas là, au sol, mais perché sur le lit ou je ne sais où ? Sur la petite table, qui pouvait servir de bureau, pour être la plus haute possible! Attention je ne me moque pas d’Annick qui m’a souvent dit ‘Préférer se trouver devant un lion qu’une souris’ ! Puis, le journaliste passa à côté de moi, et m’indiquât la salle de bains sans autre explication mais je sus alors que le problème se tenait là…. J’entrai dans la salle de bains, je jetais un coup d’œil rapide et ne voyait rien d’anormal ! je savais pourtant qu’il ne m’avait pas fait escalader les deux étages pour rien, ce Monsieur ! C’est en me tournant vers le lavabo que j’arrivai à la fin de mon interrogation, j’avais trouvé la cause de ce désarroi : Sur le lavabo se trouvait un objet qui n’aurait pas dû être là, à l’évidence : un dentier dont la couleur contrastait avec la blancheur du lavabo…
J’avais enfin trouvé l’origine de l’incident, restait à me sortir tant bien que mal de cette situation, je devinai tout de suite ce qui c‘était passé mais ne pouvait l’avouer : Cela aurait été compliqué avec la barrière des langues et, de toute façon, je n’aurai pas pu le faire même avec des Français.
Depuis quinze jours, par hasard, en faisant le ménage, j’avais remarqué que la clé de la chambre La Cancalaise ouvrait celle de La Malouine et vice et versa…Ce n’était pas logique et, depuis des années, je ne m’en étais jamais aperçu ! Ce n’était pas normal non plus que le vendeur nous ait mis ces portes aux serrures identiques. Et je m’étais promis de changer une des serrures dès que possible mais après une durée de cinq ou six ans, je pensais que l’on en était plus à quelques jours près !
Mes Italiens étaient toujours là, dans l’entrebâillement de la porte, attendant sans doute une explication que je ne pouvais décemment leur donner ! Feignant alors de ne pas connaître la vérité de ce qui avait pu se passer et que j’avais deviné en un clin d’œil, je tentais de leur faire porter le chapeau ! Je sais, c’est très mal de ma part ! Je leur demandais s’ils n’avaient pas laissé leur porte ouverte ? Leur avouais que j’avais vu ce vieux Monsieur monter seul dans la fin de l’après-midi, qu’il s’était peut-être trompé de chambre, etc. Comme ils participaient tous à la même activité, j’espérais que cela allait m’aider à me faire pardonner. Et, avec cette difficulté de bien nous comprendre avec la Langue, et pensant ne jamais trouver d’explications plausibles, j’essayai d’être réactif. Très vite, pour mettre fin à cette gêne collective, j’allais chercher dans un placard du petit hall central, le nécessaire pour faire un peu de ménage, envelopper cette sorte de mâchoire dans un papier, désinfecter (Tout le monde sait ce que c’est à l’heure ou je vous écrit, avec le confinement), etc. Tentant alors de me faire quelque peu excuser, je m’inclinais légèrement en avant en joignant les mains comme savent si bien le faire les Indiens quand ils nous saluent avec un ‘Namasté’, J’allais même jusqu’à prononcer une phrase rituelle de circonstance ‘je suis désolé’, Puis je sortais alors de la chambre avec le sens du devoir accompli.
Le lendemain, au déjeuner, tous ces hôtes ne vinrent pas déjeuner à la même heure ! De toute façon, j’avais bien géré la veille alors !
A priori, ces Italiens ne m’en ont pas trop voulu puisqu’ils revinrent dans la même chambre deux ans après. Il n’y avait plus de risques que ce type d’incident se reproduise puisque, j’avais changé les serrures le lendemain même de cette sorte d’accident diplomatique. Et, finalement, ce sont ces histoires qui demeurent à l’esprit pour toujours...
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J'ai bien ri, en regardant cette image sur une page Facebook, mais ce n'est pas gentil pour les Mamys qui prennent soin de leur aspect, pour elles et pour leurs entourages et qui restent toujours élégantes comme à 20 ans!... En j'en connais! C'est ce que j'ai répondu sur cette page!
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J’aurai préféré la raconter en vidéo mais c’est impossible car elle est est un peu trop longue et les vidéos prennent du poids pour ce blog et je ne voudrais pas arriver à saturation.
C’est un gendarme qui arrête un automobiliste pour excès de vitesse
Il lui demande ‘Vous voulez me montrer votre permis !
L’Automobiliste ‘Je n'ai plus de permis depuis 5 ans’
Le gend. ‘Ah d'accord, Bon donnez-moi votre carte grise!’
L’Autom. ‘Ah désolé je n'ai pas de carte grise’
Le gend. ‘De mieux en mieux, Dites-moi ,Vous n'avez pas d'armes sur vous?’
L’Autom. ‘Non mais j’en ai une dans la boite à gants d'ouvrir le coffre de ma voiture et là, vous allez voir le cadavre de ma sœur qui est dans le coffre’.
Le gendarme va voir son supérieur à côté et lui explique
Le supérieur approche de la voiture et demande au chauffeur:
‘Mon collègue m'a dit qu'on avait pas de permis’
L’Autom. ‘Si j'en ai un’.
Le supérieur ‘Mon collègue m'a dit que vous n’aviez pas de carte grise!’
L’Autom. ‘Comment ça ? Si j'en ai une’
Le supérieur ‘Il m'a dit aussi que vous avez une arme dans votre boîte à gants’.
L’Autom. ‘Comment ça, j’ai juste un ou deux papiers, Regardez …’.
Le supérieur. ‘Mon collègue m'a dit aussi que vous avez un corps de femme dans le coffre’.
L’Autom. ‘Ah bon ! Je parie aussi qu’il vous a dit que j'étais en excès de vitesse’ . Puis, se tournant vers le gendarme ‘Gros menteur, va!’.
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😅👍👍
Sans Commentaires, Moi, j'ai ri... Çà peut aussi Servir....😅👍
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5/12/2020 (Je précise que je l'ai racontée dans des stories ce jour on peut les retrouver dans Archives pageFB)
C’est le couple Présidentielle qui va au Maroc pour se reposer. Emmanuel Macron et Brigitte. Ils se baladent, ils ont besoin de souffler un peu !T'as compris l'année où ils ont eu les ...! C’est relou
Eh, Eh , Il tombe justement sur un génie
Une lampe, il frotte ...Le génie sort : il dit ‘Vous avez droit à un vœu’
il dit au génie ‘Ecoutez’ ( ….Je crois que je vais avoir des problèmes avec le couple présidentiel)
Il dit ‘J’aimerai bien ……...Mes parents m'ont toujours parlé de mon arrière arrière-grand-mère….. j'aimerais bien la voir‘
‘Eh bien non, on peut pas faire, je suis un génie, on peut pas faire revivre les morts’
‘Ah, bon …..Je voudrais bien un autre jeu, un autre vœu, Eh, bien, écoutez, J'aimerais que, chez moi en France, il n'y ait plus de gilets jaunes, il y ait plus de problèmes, que tout le monde m'aime’
Il dit ‘Elle est enterrée où ton arrière grand-mère’..........
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